En à peine une semaine, la littérature américaine a perdu deux de ses plus grands représentants : Tom Wolfe et Philip Roth...

respectivement 88 ans et 86 ans. Toujours habillé de son costume de flanelle blanc, Tom Wolfe, dandy new-yorkais, était un redoutable observateur de la société américaine qui appliquait avec génie les techniques de la fiction au reportage. On retiendra son plus célèbre roman « Le bûcher des vanités » qui se déroule dans les milieux aisés de la finance new-yorkaise. Philip Roth, comme Wolfe, ne laissait personne indifférent. On a souvent évoqué son nom pour le prix Nobel de littérature sans jamais le recevoir. Essentiellement autobiographique, son œuvre était selon lui l’occasion de régler ses comptes avec « les femmes, les rabbins, les hommes politiques, les psychanalystes et les critiques littéraires ».

Découvrez ou redécouvrez une partie de leurs œuvres dans le fonds des bibliothèques de Morlaix.

 

Sécurité. Pour accéder au portail de votre bibliothèque, merci de confirmer que vous n'êtes pas un robot en cliquant ici.